SammasteR avait fait appel à la sociètée Napoléon, réputée pour ses bons appartes affin de remetre le sien en état. Durant la durée des travaux il avait décidé de camper dans les jardins impériaux. Ce que tout le monde savait et approuvait ( a si je vous jure que c'est vrai ) c'était que SammasteR était un grand, que dit je, un immence, un auguste, un impérial empeureur. Ce que tous ces gens savaient moins bien c'était à quel point il détestait le camping. Sa tente, trois étages, vaingt-cinq pieces, avec avec chauffage, électrécitée, eau courante et ADSL et télée tridimentionnelle par satelite offrais pourtant tout le confort nésséssaire aux premier homme de cet univers. SammasteR avait pestifèré devant le vendeur quand il eut apprit que tout le mobilier était vendu séparrément. Il avait encore ragé en découvrant que les frigots étaient vendus vide ou que la zapette ne fonctionnait pas sur secteur.
Derrière ce faux aire de vacance l'activitée ségneuriale continuait, et avec elle les tache administrative, qui étaient devenue d'autant plus fatiguantes que nizar, l'éternel larbin, semblait avoir disparu dans l'éffondrement de l'apparte.
Avec tout ceci il en avait presque oublié la guerre contre les RSG et contre les LDDT, alliances passives qui semblaient aimer se faire taper dessus sans broncher.
Voila un exellent moyen de se distraire !
s'exclama-t-il en y repensant. Camarade plongé dans une innactivitée comateuse ( eccet de vodka??), ne constituait plus un véritable adversaire, si il ne voulait pas que cette guerre devienne une guerre froide il devrait trouver un nouvel ennemis. Il lui falait du neuf, du brillant, du vivant. Il désirait une belle defence bien reput, avec ses interminables rangées de canons, de lazer, de catapultes et bunker, une défence à poutrer avec panache. Il voulait pillier de nouvelles ressources, violer de nouvelles femmes, pietiner avec rage de nouveaux massifs fleuraux de jardins publique.