voici mon essais. priere de ne rien poster ici
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MIGRAINE, subst. fém.
Fort mal de tête affectant généralement une moitié du crâne,
dans
les régions temporale et orbitaire, souvent accompagné de divers
malaises (nausées, troubles de la vue, de la parole, de l'équilibre)
mais disparaissant sans séquelles; p.exagér. mal de tête.
Voici la définition exacte du mot
migraine. Pathétique. Personne ne peu imaginer ce que j’ai ressentie ce jour
la.
Un peu comme si l’on s’amusait a graver dans votre cerveau comme dans
un bloc de marbre. Sauf qu’un cerveau n’est pas un bloc de marbre, loin
de la. Alors forcement, ça fais mal. Très mal.
Cela avait commencer un soir d’été, en
pleine campagne française. J’était seul ce soir là. Enfin plus pour longtemps
mais je n’en avais bien sur pas conscience. C’est en fait un peu plus
compliquer que ça. Je suis reste physiquement seul, mais pas mentalement (non, non je ne suis pas schizophrène).
Il
s’est incrusterdans ma mémoire, mon encéphale , mon lieu saint. Avant
qu je sombre (joli euphémisme pour dire que j’ai faillit claquer), je
vis une image, ou plutôt unevidéo, un souvenir qui n’est pas le mien.
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Souffle rauque. Difficile. Je comprend que c’est le mien.
Enfin c’est celui a qui appartient le souvenir. Une pièce.
Il fait sombre, il/je vois peut de chose. Je sens du sang sur la
quasi-totalité de mon/son corps.
« Je suis extrêmement………..déçut. Toi qui aurais put
devenir si puissant ! Tellement doué ! Les gens on besoin d’idole, et pas
forcement les Homo sapiens. Nous aussi. Tu aurais eut un tel succès ! Tu aurais servit le
projet ! »
Cet voix n’étais pas celle a qui appartenait le souvenir. Je
ne sais pas comment je le sais, mais je le sais c’est tout. Ca fais très SF je
sais mais s’est comme ça. Elle était calme, posé. Inquiétante.
« Va…te faire…foutre. »
Juste après que il/j’eut prononcer cet phrase, il/je ne put
retenir une quinte de toux, qui lui/me fit cracher du sang.
Un visage apparut sur mon champs de vision. Une tête jeune.
C’était celle a qu’ il/j’avais gentiment propose de faire connaissance avec la
semence masculine.
« Vraiment dommage. »
Sa main se couvrit de lumière jaune orange. Il/je fis une
chose que je ne comprit pas ; c’est un peu comme si mon âme (je ne vois
pas
d’autre nom a donner) avait brusquement quitter ma peau pour former un
bouclier au dessus de lui/moi, et précisément vers la main de l’autre
protagoniste. Deux seconde plus tard, sans que je comprenne pourquoi,
il/j’explosais.