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 Roman a l'eau rouge ( le romant )

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MessageSujet: Roman a l'eau rouge ( le romant )   Roman a l'eau rouge ( le romant ) Icon_minitimeSam 14 Oct - 13:15

Pamela était seul dans sa chambre, une large chambre basse de plafond dans un hotel particulier de
st Anne de foie. La chambre exagonal faisait l’angle du bâtiment et possédait deux large fenètre.
L’une donnait sur l’entré de la décharge de ste Anne tandis que l’autre fournissait une vue
magnifique sur les amoncellement de déchets putrides. L’une ouverte laissait pénètrer dans la
chambre une odeur nauséabonde. A coté de cette fenètre le massife bureau de Paméla suportait un
ordinateur portable à coque rose. L’appareil était incroyablement épais, relique néanmoins intacte
du temps où ces models faisaient leurs entrée sur le marché. Aussi celui-ci pour convenir à
l’avencée technologique toujours plus rapide avait reçu tout un arsenal d’accessoirs
suplémentaires tel que sa coque rose ou les autocollants Barbie. La machine composite tenait du
téléfon portable, la machine à écrire, le four à micro-onde, le frigo, et enfin de l’airbus A 380 ( je
n’insinue pas ici que l’airbus est laid ).
Sur les six murs de cette chambre plus qu’originale, se trouvait affiché les posters de ses
philosophes, ainsi Zinedine Zidane, Lorie et Brad Pit, possédaient chacun un pan de mur à leur
emblème, les trois derniers étants réservé au lit, à la bibliothèque et à une multitude de groupes et
célèbritées en tout genre, connus pour les raisons peu louables que sont l’argent ou le scandale.
Un imposant lit mezanine à baldaquin gardait la porte tel un titan de bois et d’étofes. Le Plafond
trop bas avait écrasé le baldaquin ne laissant qu’une trentaine de centimètres à Pamela pour dormir
entre son matelat et le plafond du baldaquin. Les rideau beges nuancés de viloet était en armonie
prfaite avec le planfond rose pale marbré de vert cacqui.
Le Sol de parquet était recouvert d’un tapis bleu circulaire qui occupait une immence place au sol.
Accoudée à la fenètre, un mouchoire sur le visage elle rèvasait, le regard perdut dans
l’imencité bleu marine du ciel nocturne. L’étoile du Bergé brillait seul annonçant la multitude de
ses compagne.
“mon pince charmant est quelque part dans ce ciel” se disait Palmel. “Un jour il viendra et
m’enmènera loin de toute cette puanteur”
Son regard se posa alors sur la décharge de st Anne. Cette décharge était son plus grand désespoir.
Elle soupira en fermant les yeux.
“Je vais aérer un peu...” dit-elle en fermant la fenètre.

A quelques milliers de kilomètre de la, Jean un gran et beau jeune homme déhanbulait dans une rue
de Moscou. Du haut de ses un mètre quarte-vaingt quatorze virgule soixante-sept il toisait les
passant, un sourire narquois sur les lèvres, chantant gaiement une chanson paillarde dont je ne vous
donnerai pas les paroles par déscence. Ses cheveux bruns et gras emportés par le vent voltigeaient
sur sa tête tel des étendars vivaces. Heureux ,tel il semblait être, il entra dans une grande
chocolaterie. Il salua joyeusement une jeune dame qui tenai la caisse. Derrière elle les
incroyables sculptures chocolatée tronaient miroitante. Une étiquette acompagnait chacune d’elle
avec un prix des plus abordable allant de 500 à 10 000 roubles.
“_ Vous avez des tartes aux concombres? demenda-t-il à la vendeuse.
Cette dernière lui répondit en russe qu’elle ne comprenait pas l’espagnol donc il réitera sa
question du mieu qu’il put a l’aide d’un guide touristique qu’il avait avec lui. La vendeuse qui ne
comprit pa très bien se mit a rire et lui explika qu’elle s’apellait Natacha et qu’elle était originaire
d’un petit village de siberie. Croyant qu’elle se moquait de lui il tenta de lui expliker k’il avait du
mal à utiliser le guide car celui ci était écri en tcheque, qu’il avait donc besoin de s’aider
également e son dictionnaire anglais-tchèque et de son dictionnaire francais-anglais car il ne
parlait pas courament l’englais.
“_ Oui il est vrai que notre gouvernement actuel se soucis peu du nucléaire actuellement! Il faut
dire que la coupe du monde est le centre de toute action maintenant!”
Qui sait ce qu’avait comprit la vendeuse en répondant ainsi? Il finirent qund même par se
comprendre en choisissant de passer par l’intermédiaire de la langue Allemande qu’il métrisaient
tout les deux.
“ Vous avez des tartes au concombre ?” demenda-t-il donc en allemand.
La Vendeuse surprise ironisa:
_ Oui bien sur et puis des tartes aux choux et au haricos verts!”
_ A ba vous voyez c’est pas bon hein! répondit-il fiert de lui.
La vendeuse ne comprenant pas la blague lui demenda agacée si il ne voulait pas prendre un ou
deux lapins en chocolat. Jean accepta, paya en Euro la somme demendée en rouble et sorti en
oubliant ses lapins sur le comptoire.
Dehors la rue était vide,désemparé par sa solitude ne sachant que faire ilse dirigea vers l’aéroport.
Il traversa plusieur rue, toute vide et sobre avant de trouver l’aéroport de Moscou. La il acheta
deux billet pour le prochain vol pour Silicon Valley.
Son séjours en Amérique commença sur une violente déception. Arrivé a son hotel il annonça:
“Monieur Khüll! j’ai réservé!”
A la réception un vieille homme ouvrit un répertoir:
_ Monsieur Khüll, Monsieur Khüll a oui voila! sela fait plus d’un mois que la chambre est
réservée! Vous avez des bagages?”
La question le frappa comme un coup de poing, oui ses bagages!
“_ Mes bagages! gémi-t-il. Je les ais oublier à l’aéroport!
_ Ce n’est pas si grave l’aéroport est à deux pas!
_ Non je veux dire l’aéroport de Maraquech!
_ A vous venez de Maraquech?
_ Non de Moscou!”
Résigné à séjourner dans cet hotel sans ses affaires il monta dans sa chambre. Il faisait nuit, il
s’endormit.


Dernière édition par le Sam 14 Oct - 16:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Roman a l'eau rouge ( le romant )   Roman a l'eau rouge ( le romant ) Icon_minitimeSam 14 Oct - 13:28

Paméla se réveilla courbaturée. Sous sa fenètre, la décharge de st Anne de foie puait d’aventage
qu’aujourd’hui il faisait chaud et lourd. Elle passa en revue les rayons de sa bibliothèque, les
romans de l’édition arlequin, tronaient, minucieusements alignés sur le haut de l’étagère. En
dessous s’alignaient les Bandes dessinées de Titeuf et des mangas. Elle prit un roman, “Au nom
d’une femme”, et commença à le lire assise sur une chaise bancale au milieu de la chambre.
C’était là un de ses rares moments de plaisir qui ponctuaient sa vie. Elle ne trouvait pas prétentieux
d’espèrer trouver l’amour parfait ni de le mériter. Elle ne pauvait pas se séparer de l’univer
fantasque et gentillement aquarellé des amour sincères à Nice, Rome ou Paris. Dans des villes
romanesque ou l’on trouve encore les vestiges du temps ou les hommes s’offraient encore corps
et âme à leurs amentes.
Elle sortit de chez elles vers onze heure pensant manger en ville. Sur le perron gisait le
cadavre déchiqueté d’un chat noir. Sa peau à moitié arrachée traînait en lambeau séparée de la
carcasse sanglante. La cage thoracique avait été défoncée et les entrailles sortait par endroit. La
tête avait disparue. Une marre de sang avait inondé le perron.
Pamela ne possédait pas de voiture aussi elle dut marcher jusqu’à trouver un arrêt de bus.
La rue était peu habité, cela avait ses avantages et ses inconvénient. Pamela n’y voyait que des
avantages à une décharge près. Elle connaissait bien les peux de voisins qu’elle avait. Tout de suite
en face de chez elle vivait un vieil homme, encient militaire qui racontait volontier ses aventures
au club de belote du quartier. Elle ne connaissait pas son vrai nom mais tous l’appelaient Ben, elle
faisait de même. Les deux maison suivntes étaient abendonnée et souvant quelques gamins venait y
jouer. Certain plus vieux y fumaient des joins et la police était passée plusieurs fois inspecter les
bâtisses. Les maisons qui finissaient la petite rue étaient chacune habité par un couple à la retraite. Les Maquard et les Dupuis. Les Dupuis avaient des enfants qui venaient souvent les voir. Au bout
de la rue se trouvait l’arrêt. La decharge était le terminus de la ligne unique qui déservait ste Anne.
La ligne financée par la mairie ne possédait que deux bus qui éfectuaient des allés et retour de sept
heure du matin à dix neuf heure le soir. Heureusement la ligne était courte et il n’y avait jamais
plus d’une demie-heure d’attentre entre deux bus. Elle commençait par une grande surface
intermarché à l’autre extrémitée de la ville, passait dans la citée de ste Anne, puis devant l’école
publique, la maison des sports, la mairie l’église, une école privée qui prenanait les enfants de la
maternel au lycée, le vieu quartier de ste Anne et finissait pâr la décharge. Au totale le traget durait
environ dix minutes.
Ste Anne de foie était encastrée dans une vallée fermée. Une seule route relliait le village à
l’exterieur. La route était coupée en hivert à cause de la neige, au printemp à cause des crues, et
parfois en étée à cause des tempètes qui couchaient des arbres sur la route. La ville était alors
aprovisionée en élicoptère et les prix en venaient souvent à doubler ou tripler. C’est pour ces
raisons que Ste Anne était à présent si peu habitée.
Yvain les trois dunes, à trente kilomètre de Ste Anne était la ville la plus proche. Une navette
reliait les deu villes, fisant deux allé-retours par jour sauf le dimanche où personne ne travaillait.
De Yvain les trois dunes on pouvait rejoindre marseil en taxis. Cela ne coutait pas beaucoup par
rapport au trajet, les chaufeurs étaient compréhensifs.
Aujourd’hui Pamela alait à Marseil, elle logerait quelques jours chez une amie avant d’aller
à un concert de Lorie. Elle avait réservée sa place.
Pamela n’eu pas beaucoup à attendre son bus, quand elle monta il était vide. Elle salua
amicalement le chauffeur et s’assit à l’avant.
“Alors tu descends où aujourd’hui Pamela?” demenda le chauffeur.
_ A la mairie Gustave! A la mairie!
_ Oh la mairie, mais tu travail aujourd’hui?
_ Non je pars en voyage!” Un sourir radieu s’affichait sur son visage.
_ Vraiment? A c’est bien domage la roupe est encore coupée!
_ Comment? Mais c’est affreu! Comment vais-je Faire?
_ Oui surtout que la route ne sera dégagée que la semaine prochaine!
_ La semaine prochaine? Mais c’est horrible le concert est samedi!
_ Oui en plus pas moyen de passer à pied les autoritée on fermé le périmetre pour des raison de
sécuritée!
_ Les autoritée ont fermée le périmètre? Mais c’est scandaleux je ne pourrait même pas passer à
pied!
_ Nous Arrivons à la mairie tu descends quand même?
_ Oui je forcerai le passage si il le faut mais je passerai!
_ Bien il ne me reste plus qu’a te souhaiter bonne chance Pamela!
_ Merci et Aurevoir!”

Pamela descendi du bus. La mairie était le plus haut bâtiement de ste Anne de foie. De ses deux
étages elle surplombait le village. Derrière partait la route d’Yvain les trois dunes, sans l’ombre
d’une ésitation elle s’avença, vaillante. “Je ne me retournerai pas!” se promi-t-elle. Son pas vif et
énergétique la propulsait sur les chemins. Elle sorti vite de Ste Anne. Sur sa gauche la falaise
étendait son ombre sur la route. A sa droite, des fermes alignaient des plantations déssèchées par
la secherresse. Les olivier difusaient une odeur enhivrante dans cette partie de la vallée. Il faisait
déja chaud, la vallé concave emprisonait la chaleur comme une serre. Pas même une brise ne
venait rafraichir l’atmosphère pesante. La route s’extirpait de la vallé en zigzagant sur un pant de la
montagne avant de passer le cole St Charles. Le cole se trouvait enaltitude et surplombait la vallée
donnant une vue magnifique des deux cotés de la montagne. Situé à plus de milles metres d’altitude, c’est à cet endrois que la route était bouché en hivert. Passé le cole, la route
redessendait en pente raide pour rejoindre la valée adjacente. Dans le fond de cette vallée coulait
le Lanna, un ruisseau tortueux et violent qui emportait parfois le ponds qui le traversait en temps
de crue. Le pond était neuf, comme presque chaque année. Cette fois les municipalitée réunies de
Ste Anne et de Yvain les trois dunes avaient consacrée un budget suplémentaire à laréparation du
pont afin de le réhausser. Pamela s’assit un moment pour observer l’ouvrage. Elle marchait depuis
pluds d’une heur et ses pied lui faisaient atrocement mal. “ Je n’aurais pas crue que les chaussures
à talon puissent être si douloureuses en montagne” soupira-t-elle.
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MessageSujet: Re: Roman a l'eau rouge ( le romant )   Roman a l'eau rouge ( le romant ) Icon_minitimeSam 14 Oct - 13:33

Jean se leva tôt affin de prendre l’avion. Sa nuit dans cet hotel de Silicon Valley lui avait tant
déplue qu’il avait décidé d’écourter son séjour. Il rentrerait à marseil pour le concert de Lorie.
“C’est plin de bonnasses ce genre de concert” se disait-il. Il arriva à l’aéroport tôt dans la matinée.
L’avion décolla vers midi et arriva à l’aéroport vers 17h32. Pendant le trajet l’avion avait heurté un
oiseau qui après s’être fracassé sur l’avant du cockpit laissant une longue marque de sang sur la
coque, avait été aspiré par un récteur. L’oiseau bouilli se melat à la fumé qui s’échapait déja du
réacteur la tintant de rouge. Heureusement le réacteur n’avait pas été endomagé et le trajet se
déroula sans encombre. Le jeune Khüll habitait un petit village de la banlieu marseillaise. Son
domicile, une coquette villa surplombant la mer, était sans cesse squaté par des amis de Jean.
Quand il arriva plus tôt que prévus il fut surpris de la présence envahissante de son voisin, de la
famille de son voisin, des amis de son voisin et du patron de son voisin.
“Dis moi Rodolfe, clamat Jean en entrant chez lui, il me semblait que tu devait seulement entrenir
mes plante et mon chat! Pas tout le quartier!
_ Oh Jean! lança Rodolfe. Nous ne t’attendions pas de si tôt!
_ Eh M’sieur Jean! aboya un gamin qui courrait autour de la table. Vous voulez de la pizza y’en a
plein!
_ Oui volontier! Mais y’en a plein mes fauteilles! Mes fauteuilles en cuire de Normandie!
_ Oh oui eu ils te renbourseront n’est ce pas! ironisa Rodolfe.
_ J’espère pour vous que votre assurance est très fiable parce que là je vais vous trainer devant les
tribunaux!”
La plupart de occupants avaient déjà quittés la maison. Il ne restait que Rodolfe et quelques uns de
ses amis. Deux gars baraques s’amusère à provoquer Jean faisant mine de vouloir se battre. Jean
les dépassait de deux têtes. Il en empoigna un par le cole et le jeta par la porte. Il roula dans l’allée
et parti en courrant suivit de son complice. Maintenant Jean était sur le poing d’exploser.
“Dégage Rodolf avant que je ne te casse la gueul!”
_Voyon Jean on peu...”
Il n’eu pas le temps de finir sa phrase, Jean lui assena un crochet du droit l’envoyant s’éclater
contre un mure. Son nez cassé pissait abondament et avait fait une large tache sur le mur. Le frère
de Rodolf arriva sitôt à son secour. Il brandissait une chaise et tenta de l’abbatre sur Jean. Ce
dernier l’esquiva sur la gauche et enfonça son poing dans l’abdomen du frangin. Il lacha la chaise en se tenant le ventre. Jean l’acheva d’un coup de genou dans la machoire. Mais déjà les renfort
arrivaient. Deux gars très baraqués entraient en fraquassant la baie vitrée à l’aide de bate de
base-ball. Jean rammassa la chaise et la cassa sur la tête de l’un des assaillants après avoir esquivé
un coup de batte. Il en arreta un autre avec la main et désarma son adversaire. Il l’abbatu d’un coup
de tête.
Une fois sa maison débarrrassée des intrus, M. Khüll commença un long rangement, quie
dura le temps de redresser le canapé, renversé dans la bagare. “Bon sa fera un peu de travail pour la
femme de ménage” se dit-il en s’alongeant
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MessageSujet: Re: Roman a l'eau rouge ( le romant )   Roman a l'eau rouge ( le romant ) Icon_minitimeSam 14 Oct - 13:48

Pamela remis ses chaussures au pied. Elle pris apuis sur la renbarde du pont pour se relever. La
route vers Yvain les trois dunes était encore longue et le soleil entamait déjà l’après-midi. Après
la rivière, le paysage s’aplatissait et la route passait au travers d’une forèts. Une voiture de police
était garée à la lisière, deux agents montait la garde. Pamela décida de les contourner et de longer
la rivière un certain temps. La berge était principalement constituée de rochers mousseux et
glissant. Affin de préserver ses talons, elle enleva ses chaussures. Des sauterrelles sautillaient
gaillement de rochers en rochers s’arrêtant par moment pour observer la jeune fille qui se débatait
maladroitement avec le terrain. Elle trébucha plusieurs fois, s’écorchant les molets et les mains.
Le soleil brûlant lui cognait sur la tête et elle décida de s’assoire un moment au bord de l’eau.
“J’en aurais vécu des ventures” se dit-elle sans savoir ce qui l’atendait encore. Maintenant hors de
vue des policiers elle pénètra dans la forèt. Les arbres, des accacias, étaient relativement espacés.
Le sol, à la grande joie de Pamela, était plas et mouelleux. La forèt était très éclairée et tout
semblait aller pour le mieu. Sans crier gare, le terrain passa du plat parfait à une pente
vertigineuse. Pamela trébucha et roula sur plus d’une dixaine de metres. Elle atterit dans un
buisson de ronce qui lui taillada le visage. Elle venait d’arriver dans un bois beaucoup plus sombre.
Les arbres plus raproché et plus touffus entravaient le passage par endrois. Pamela se débatit
comme elle le put pour se sortir des épineux. Le sol était devenus boueux, elle s’enfonçait parfois
jusqu’au genou. “Au mon dieu mes chaussures!” gémit-elle. Bientôt elle n’eut plus conscience du
temps. La fatigue lui tirait les muscles et l’empèchait de réfléchire. Elle avençait avec une
détermination fictive, tel un zombi vaseu déterré depuis peu. Elle ne s’en était pas encore rendu
compte mais l’aire sétait rafraichi annonçant les premières heures de la nuit. Au loin, un loup
hurlait. Pamela tomba à genou. La faim et la fatigue l’avait vidée. Sa peau la démangeait partout,
elle saignait par endroit. Des larmes de douleure coulait de ses yeux rouges. Elle senglota,
l’espoire la quittait. “Je ne verait pas Lorie, c’est terrible”. Mais soudain, une lumière aveuglante
l’illumina. “Je suis morte” pensa-t-elle. Deux mains puissantes la saisirent avec une grande
délicatesse. Elle sentit un corps musclé qui la saisissait et l’emportait, alors elle s’endormit.

Jean sursauta. Il s’assit regarda un peu autour de lui. Il s’étit endormi devant la télévision. Cela lui
arrivait parfois quand il était très fatigué. Aujourd’hui cependant il ne se sentait pas plus faible que
d’abitude. Sans doute la bagarre l’avait-elle un peu sonné. Il se leva et traversa le salon. Le bruit de
ses pas était ponctué par les bris des morceaux de verres sur lesquelles il marchait. Jean sorti par
la verrenda. Le soleil couchant mirroitait sur la mer. Le ciel s’était teinté de milliés de couleurs
qui illuminaient les nuages, se reflétant dans la mer et le tableau céleste semblait déchiré en
centaine de lambeaux flamboyant. Une légère brise souflait venant de l’ouest, emportant ses
cheveux noires. Il se teint là un moment, droit et immobil, la tête face au vent, le regard dans
l’orizon multicolor, pensif et déterminé, statue de chaire et de vertue. Quand enfin, le soleil
disparu emportant avec lui le dernier de ses rayons, Jean décida d’aller se promener. Il prit la route
pour Ste anne de foie car elle était calme et parce qu’elle traversait la forêt. En remontant il croisa
Igor Traskiskov au volant d’une camionnette blanche d’une crasse surnaturelle. Igor fit un appel de
far en apercevant Jean qui marchait, il ne s’arrêta pas. Un peu plus loin Jean passa devant la maison
d’Igor. C’était un véritable taudis. On était en droit en observant la batisse de se demender
comment elle faisait pour tenir debout. Le mur Ouest, bancale, était soutenus par de frêles poteau
rafistollés par endrois avec un mastique jaunâtre. Aucune fenètre n’était intacte et il manquait
plusieur volaits. Pour palier au désagrément M. Traskiskov ne vivait que dans son salon, dont il
avait comblé les fenêtres. Des meubles étaient entassés devant la porte d’entrée si bien que pour
entrer il falait employer une échelle qui menait a un balcon. La rembarde qui le cerclait était tant
ravagée par endroits qu’il n’en restait que les piliers. Un énnorme bidon bleu était placé dans un
angle de façon à reccueillir les eau de pluie. Le mur Est était éventré en son centre donnant aux voisins d’Igor une vue pour le moins gènante sur sa salle de bain et ses toillettes. Un veau y avait
été égorgé et le sang en couvrait toujours les mures. Juste après habitaient les parents de Rodolfe.
Il semblait règner dans l’imposante villa une agitation pour le moins particulière. Jean accélèra le
pas. Jean qui habitait déjà sur les hauteures de la ville, atteind rapidement la forêt st Charles. Une
pencarte indiquait que la route était barré aussi Jean coupa par la forêt. La forêt st Charles était un
véritablepiege pour tous ceux qui ne la connaissaient pas. Elle commençait par un terrain plats
souvent défriché et facilement pratiquable mais cela ne durait pas. Une pente brusque et
innatendue débouchait sur un marécage boueux et impratiquable. La forêt n’y était pas entretenue
et plus dence que sur le plateau elle entravait la route des aventureux par des milliers de bras
épineux. Jean descendit dans le marécage car il était riche en champignons de toute sorte. La
lumière lui fit vite défaut mais la fonction lampe torche de son téléfon protable le tira de ce
désagrément. Il avença prudement connaissant chaque sable mouvant et chaque recoin ou l’on
trouvait cepes et giroles. La nuit ralentissait ses rechèrches aussi il déssida de rentrer quand il
entendit ou perçu une voix. Jean tendi l’oreille. Les loup au loin hurlaient. Soudaint au détours
d’un arbre Jean aperçu une silouhette a genou dans la boue. C’était une femme. Ses cheveux salis
par la terre ondulaient garcieusement sur ses épaules, ses yeux sombres étaient emplis d’un
désespoire infinie. Sa robe blanche en lambeaux laissait apparraître sa chaire rouge. Elle vacilla,
Jean se jeta a son secour et avant que la crasse ne souille son visage angelique, il l’enveloppa de
ses bras. Avec toute la tendresse dont il était capable, il la souleva, l’arrachant au marécage. Un
sourire triste aparu sur son visage, les yeux mis-clos, elle pleurait. Jean lui sourit admirant son
visage torturé et sereint. “Je ne trouverai jamais plus beau champignon dans cette forêt” lui
adressa-t-il dans un murmure passioné.
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MessageSujet: Re: Roman a l'eau rouge ( le romant )   Roman a l'eau rouge ( le romant ) Icon_minitime

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